Michele revient de France dans son village en Italie avec sa femme française, Agnès. Bien qu'il ne veuille rencontrer personne, elle est amicale et ouverte. Angelino, le cousin de Michele, et son ami Ottaviano, deux brutes du village, prennent sa gentillesse pour une séduction. Michele est toujours en colère et violent : il blâme sa femme pour leur situation, et lui rappelle son passé louche. Pendant ce temps, la vie dans le petit village continue : le grand-père d'Angelino fabrique des structures en bois élaborées ; au bar, on joue aux cartes et on parle des femmes ; La mère d'Angelino n'arrête pas de râler et de soupirer dans sa petite épicerie. Enfin, lors de vacances dans le village voisin, Angelino et Ottaviano voient Michele se rendre chez une prostituée. Ils décident d'aller rendre visite à Agnès chez elle. Ainsi, pendant qu'Ottaviano attend devant la porte, menacé par le chien de garde, Angelino essaie avec vantardise de la courtiser : mais encore une fois, il prend sa gentillesse pour une séduction. Lorsqu'il essaie de l'embrasser et de l'embrasser, elle refuse soudainement et le repousse. Tombé et échoué, Angelino est encore plus humilié quand Ottaviano découvre ce qui s'est passé. De retour à la maison, ivre et en colère, Michèle regarde la chambre ravagée et, dans une rage jalouse, se jette contre Agnès. Après cette seconde attaque, la jeune femme change soudain d'humeur : elle repousse son mari et avoue avoir elle-même ravagé la pièce, en colère contre son retard. Maintenant, elle veut faire l'amour avec lui. Michele, qui n'avait jamais connu la passion sexuelle de sa femme auparavant, se livre facilement à Agnès. Le lendemain matin, elle s'en va. En sortant du minuscule magasin d'alimentation, elle trouve une des structures en bois de l'aveugle : et elle l'emporte avec elle.