6 juin 1944 : Jour J. Patrick Thomas, télégraphiste de la Royal Navy, monte à bord d'une péniche de débarquement à Portsmouth, alors que des milliers de navires et des dizaines de milliers de militaires se préparent pour le jour qui a changé l'histoire. Le navire, LCH 185, ferait partie de la première vague sur Sword Beach et de toutes les vagues subséquentes qui ont suivi. Pendant les deux semaines qui suivirent, les embarcations se joindront à d'autres pour former une ligne pour protéger les plages du débarquement des attaques allemandes de nuit. Pendant la journée, l'équipage dormait, effectuait des réparations ou secourait les survivants des navires presque constants coulés chaque jour. Le 25 juin 1944, le LCH 185 est heurté par une mine acoustique. Patrick se retrouve à reprendre connaissance dans l'eau, saignant de la tête et couvert de peinture grise. Il regarda le navire tourner et couler au fond du détroit d'Angleterre, emportant avec lui tout sauf une poignée de l'équipage. Les dossiers montrent que 35 hommes sont morts dans le naufrage. Le nombre peut être plus élevé. Avec des hommes et des machines tombant comme des mouches tout au long de la Seconde Guerre mondiale, le navire et ses marins ont largement disparu de l'histoire. Patrick et les familles de l'équipage n'ont pas de place pour honorer les morts qui ont tant sacrifié pour notre liberté. Aucune position dans la mer pour savoir où reposaient leurs amis et leur famille. Il n'y a pas de mémorial pour déposer une couronne. Sept décennies plus tard, tout cela va changer. 73 ans après la disparition du navire du vétéran de la Royal Navy Patrick Thomas pendant la Seconde Guerre mondiale, il est le dernier de la poignée de survivants encore en vie. Le destin réunit Patrick et un parfait inconnu, l'archéologue John Henry Phillips. Alimenté par leur lien inattendu et le décès rapide de la génération de la Seconde Guerre mondiale, John fait la promesse choquante de trouver le navire et de construire un mémorial avec Patrick à ses côtés.