Avec les sons et la mémoire corporelle, les ex-ouvriers de l'Usine Ursus reconstituent une journée de travail dans une usine qui n'existe plus. La symphonie qui en résulte est constituée des mouvements chorégraphiés des ouvriers ainsi que du personnel technique, administratif et de direction, accompagnés par la phonosphère recréée de l'industrie lourde.