La machine à écrire, le fusil et le cinéaste Bande sonore (

La machine à écrire, le fusil et le cinéaste Bande sonore (1996) couverture

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Évaluation: 7.90/10 de 398 votes
Mots clés: réalisation, cinéma indépendant
Noms alternatifs:
Titre en Español:

The Typewriter, the Rifle & the Movie Camera
Titre en Italiano:

The Typewriter, the Rifle & the Movie Camera
Titre en Português:

The Typewriter, the Rifle & the Movie Camera
Titre en English:

The Typewriter, the Rifle & the Movie Camera
Titre en Türk:

The Typewriter, the Rifle & the Movie Camera
Titre en Deutsch:

Der beste Schuß

Synopsis

Dans un documentaire sur Samuel Fuller, le spectateur obtient différentes impressions sur le réalisateur hollywoodien et ses films. Le film est divisé en trois sections: The Typewriter, the Rifle et the Movie Camera. Le premier segment couvre le passé de Fuller en tant que journaliste où il a commencé comme garçon de copie et a fini comme reporter. La deuxième partie décrit les expériences de Fuller pendant la Seconde Guerre mondiale, où il a participé en tant que soldat. La dernière section se concentre sur Fuller en tant que réalisateur. Tim Robbins interviewe Samuel Fuller révélant les propres souvenirs et impressions du réalisateur. Outre l'interview, Jim Jarmusch, Martin Scorsese et Quentin Tarantino accompagnent le documentaire avec leurs commentaires.

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La machine à écrire, le fusil et le cinéaste

User reviews

Isabelle Bertrand
9/10

Les interventions des différents cinéastes comme Jim Jarmusch, Martin Scorsese et Quentin Tarantino sont parfaitement ponctuées par des morceaux musicaux soigneusement sélectionnés. Cela crée une harmonie entre les voix des réalisateurs et la musique, renforçant ainsi l'impact émotionnel du documentaire.

Isabelle Morin
5/10

La diversité des styles musicaux utilisés dans le documentaire contribue à maintenir l'intérêt du spectateur tout au long des différentes sections, offrant une expérience sonore riche et variée.

Jacques Dupont
5/10

Les choix musicaux dans le film reflètent parfaitement les différentes phases de la vie de Samuel Fuller, en passant de la tension dramatique de la guerre aux moments plus introspectifs de sa carrière de réalisateur.

Yves Vincent
9/10

Les compositions musicales utilisées dans le film parviennent à transmettre avec justesse les différentes émotions et ambiances des différentes étapes de la vie de Samuel Fuller. Cela renforce la narration visuelle et ajoute une dimension supplémentaire à l'expérience cinématographique.

Jacques Lefèvre
10/10

La bande sonore de La machine à écrire, le fusil et le cinéaste est tout simplement captivante. Chaque morceau musical accompagne parfaitement les différentes parties du documentaire, créant une atmosphère immersive pour le spectateur.

Vincent Moreau
6/10

Les commentaires des cinéastes Jim Jarmusch, Martin Scorsese et Quentin Tarantino sont enrichis par une bande sonore subtile mais efficace, créant une atmosphère enveloppante qui soutient et met en valeur leurs réflexions.

Thierry Morin
8/10

La bande originale de La machine à écrire, le fusil et le cinéaste est un véritable chef-d'œuvre musical qui accompagne parfaitement les différentes sections du documentaire. Les compositions musicales créent une atmosphère immersive et captivante qui renforce l'impact émotionnel des témoignages et des images présentées.

Frédéric Vincent
8/10

De plus, la diversité des styles musicaux utilisés dans la bande sonore ajoute une dimension supplémentaire à l'expérience cinématographique. Les morceaux variés, allant du jazz au classique en passant par des compositions contemporaines, offrent une palette sonore riche et dynamique qui souligne la complexité de la vie et de l'œuvre de Samuel Fuller.

Virginie Martin
5/10

En fin de compte, la bande sonore de La machine à écrire, le fusil et le cinéaste est un élément essentiel qui complète parfaitement la narration visuelle, créant une harmonie totale entre l'audio et le visuel.

Philippe François
5/10

La bande sonore de La machine à écrire, le fusil et le cinéaste est immersive et captivante, ajoutant une dimension émotionnelle profonde à l'expérience visuelle du documentaire.

Frédéric Clement
6/10

L'utilisation de la musique pour accompagner les interviews de Tim Robbins avec Samuel Fuller ajoute une couche de profondeur et d'authenticité à ces échanges, renforçant ainsi la connexion émotionnelle avec le réalisateur.